Istanbul : N'en rêvez plus... Allez-y !
       



Gedikpaşa est LE quartier de la chaussure

 


Quartiers de Kumkapı
et Gedikpaşa
(Municipalité de Fatih)




 

 

 

 

Catégorie : Quartiers & Mairies
Municipalité / Quartier : Fatih
Quartiers voisins : Binbirdirek-Çemberlitaş, Küçükayasofya-Kadırga, Laleli, Beyazıt, Yenikapı. Voir aussi :
Eminönü
Situation : centre historique est
Visite privée du quartier : Istanbul Insolite Ltd
 

Kumkapı et Gedikpaşa sont deux anciens quartiers dont le premier se situe en bas de la 3e colline et le second presque au sommet de celle-ci. Ils ont suivi une évolution assez similaire jusqu'à nos jours.

A l’époque byzantine Kumkapı se nommait Ta Kanikleiou. On y accédait de l’extérieur par la porte Kantoskalion appelée sous les Ottomans Kum Kapı. Le quartier était le IXe arrondissement de Constantinople, mais ne comprenait pas le haut de la colline, l’actuel quartier de Gedikpaşa.


Vue sur Kumkapı

Lorsque les Ottomans réorganisèrent la ville, les abords de la Mese, la voie impériale entre le Grand Palais et les remparts de Théodose II, ont été pourvus de mosquées, d’écoles (medrese), de bains et de bibliothèques. Les habitants étaient plutôt musulmans le long de cette voie, mais uniquement sur une bande pas très large, tandis que les quartiers à flan de colline et ceux tout à fait en bas (Kumkapı), étaient habités surtout par des chrétiens orthodoxes.

Au fil du temps, d’autres chrétiens vinrent s’y installer, notamment une communauté de Turcs orthodoxes (Karamanides) originaires de Cappadoce. Attachés au patriarcat byzantin de Constantinople, ils ont été victimes en Asie Mineure, des échanges de populations dans les années 20. Aujourd'hui les Turcs orthodoxes sont plus nombreux en Grèce qu'en Turquie, où on en trouve uniquement dans la région stambouliote, souvent hellénisés.

Il y avait aussi des Grecs d’Anatolie (Rums), des Assyriens et surtout des Arméniens. Ces derniers obtinrent un statut d’autonomie en 1461 (Millet), ce qui leur permettait d’organiser leurs institutions (affaires religieuses, enseignement, justice, etc.). Cette liberté que les Arméniens n’avaient pas sous l’Empire byzantin (même leur Eglise n’était pas tolérée), permit un incroyable développement de cette communauté.

Un patriarcat fut élevé d’abord dans le quartier de Samatya où une église grecque avait été réquisitionnée, puis à Kumkapı, où il se trouve toujours.


Kumkapı (Koum-Kapou en période ottomane), devint donc un des principaux quartiers arméniens d’Istanbul. Les autres chrétiens étant minoritaires, mais présents quand même. Les Latins possédaient aussi une église, deux écoles, un orphelinat et un dispensaire. Les protestants avaient également un dispensaire à Gedikpaşa et un temple.


Orchestre tzigane dans une taverne (meyhane)

Société Philharmonique Knar de Koum-Kapou (1910)

Le port - 1974

Le port - vers 1930

Annonce de l'Eglise arménienne Ste Marie - 1965

Devant la taverne Kör Agop - vers 1970

La Première guerre mondiale changea radicalement la population de Kumkapı / Gedikpaşa. Les institutions latines disparurent, tandis que la population grecque diminua et les musulmans d’Anatolie augmentèrent en nombre.

Les Arméniens restèrent toutefois majoritaires jusque dans les années 1945-1955, quand les autorités firent pressions sur les non-musulmans. Certains s’en allèrent définitivement de Turquie, d’autres partirent dans des quartiers plus plaisants (Yeşilköy, Bakırköy, Pangaltı, Kurtuluş, Sişli). Le quartier s’appauvrit et devint une destination de l’immigration rurale en provenance d’Anatolie orientale.

La population kurde augmenta spectaculairement dans les années 1960-1970, tandis que le nombre des chrétiens diminuait encore.


Agop Vardovian dit Güllü Agop (1840-1902)

Comédien, il fonda le théâtre de Gedikpaşa. Il dirigea les affaires des théâtres impériaux sous Abdülhamid qui avait aussi son théâtre privé au palais de Yıldız, où il vécu les 20 dernières années de sa vie. Il repose au cimetière musulman de Yahya Efendi de Beşiktaş, s’étant converti a l’islam un peu avant sa mort.

Jusqu'à ces dernières années, la tendance ne changea pas vraiment, sauf que depuis les années 1990, les nouveaux arrivants ne sont pas exclusivement de nationalité turque et bien souvent non-musulmans.


P
atriarcat apostolique arménien d’Istanbul
- Kumkapı

Eglise orthodoxe turque (karamanide)

 

Eglise assyrienne jacobite
- Gedikpaşa

Eglise arménienne grégorienne St Jean - Gedikpaşa

Eglise arménienne grégorienne

Eglise orthodoxe grecque Elpida

Eglise turque orthodoxe Kiriyaki

St Jean, temple prostestant arménien
- Gedikpaşa

De nombreux immigrants s’y sont installés, notamment des réfugiés politiques ou économiques d’Iran, d’Iraq, d’Afghanistan et d’Afrique. D’autres étrangers sont également présents, surtout originaires de l’ancien bloc communiste : Géorgiens, Arméniens, Azéris, Gagaouzes et Russes.

Tous ne sont pas en situation régulière et avec les pressions de l’Union Européenne, les autorités ont transformé l’ancienne école des Oblates de l’Assomption en centre de rétention.


Ecole arménienne Bezciyan

Ecole grecque Kiryaki

Ancienne chapelle Vortvots Vorodman devenue le
centre culturel
Mutafyan

Dames arméniennes aux Rameaux
à Kumkapı

Associations arméniennes

Hammam de Nişanca, Kumkapı

Entrée de la cathédrale arménienne

Place centrale de Kumkapı

Les Arméniens d’Arménie sont nombreux, plusieurs milliers de personnes qui travaillent généralement dans les ateliers de confection de chaussures à Gedikpaşa. Les Gagaouzes forment certainement le deuxième groupe le plus important. Originaires de Moldavie, ces Turcs orthodoxes se fondent bien dans la population. Les Arméniens protestants louent une partie du temple Saint-Jean de Gedikpaşa, à la communauté gagaouze.

De manière générale, le secteur n’est pas très reluisant. Beaucoup de maisons sont en mauvais état et le niveau de vie général de la population est bas, toutes religions et origines confondues.


Rue entre Kumkapı et Gedikpaşa

Rue de Kumkapı

Eglise turque Kiryaki

Eglise Surp Levon / Surp Harutyun

Jardin Municipal de Kadırga

Arrivée du poisson au port de Kumkapı

Marché aux Poissons

Marché aux Poissons

La proximité de zone à forte concentration touristique (Sultanahmet d’un côté, le Grand Bazar de l’autre) a attiré les promoteurs qui ont beaucoup investi ces dernières années. Des rues entières à Gedikpaşa ont changé de visage avec des hôtels de bonne qualité.

Kumkapı met un peu plus de temps à s’améliorer, pourtant le quartier a un fort potentiel. Les maisons ont du style et peu de bâtiments modernes ont été construits. Les nombreuses églises et le patriarcat arménien attirent des visiteurs, toujours plus nombreux.


Hammam de Gedikpaşa

Mezes et Rakı

Les tavernes de Kumkapı

Musiciens tziganes

Fameuse enseigne : Kör Agop

Les mézés sur un plateau...

Au centre de Kumkapı, plusieurs rues sont remplies de tavernes (meyhane) traditionnelles, que l’on trouve aussi dans d’autres quartiers non-musulmans : Ortaköy (juif), Galatasaray (latin), Samatya (arménien), etc. Aujourd’hui, ces tavernes sont presqu’exclusivement fréquentées par des touristes que les cars des grandes agences déversent tous les soirs.


Une bonne adresse pour la créme de lait de bufflonne :
Boris le Crémier (
Kaymakçı Boris)

Kumkapı est un bon endroit pour déguster les
fruits de mer et le poisson

Kumkapı a aussi son port de pêche qui est assez important. Le marché aux Poissons  se trouve à proximité et est fort agréable à voir.

Ainsi va la vie à Kumkapı …

Quelques recettes

Les recettes que nous indiquons ici sont traditionnelles autant pour les Turcs que pour les Arméniens de Turquie, voire d’autres communautés de ce pays. On pourrait tout-à-fait les classer dans les recettes ottomanes, mais comme l’empire n’existe plus, chacun revendique son origine tout en sachant que l’autre y est pour quelque chose aussi. N’entrons pas dans des querelles de minarets et voyons tout de suite la manière de faire qui nous a été communiquée par des dames arméniennes d’Istanbul.

Afiyet olsun ! Բարի ախորժակ !

Pastırma (Bastirma / բաստուրմա / παστρουμάς)

Entrecôte ou Filet de bœuf salé et pressé et séché à l’air. La Pastırma se prépare de différentes manières selon les régions turques ou de l’ancien Empire ottoman (Bosnie, Roumanie, Grèce, Bulgarie, etc.). Tout le monde la revendique, mais ce sont certainement les nomades turcs qui ont amené la Pastırma en Asie Mineure. Les Arméniens de Césarée (Kayseri) étaient les plus doués à la fabrication et à la vente (!). On trouve facilement cette charcuterie dans le commerce, en différentes qualités et différents prix. Généralement, elle trône, pendue comme des saucisses, dans les meilleures charcuteries (Şarküteri) d’Istanbul ou d’ailleurs. C’est un produit qui n’est pas très bon marché et peut facilement se comparer avec la viande des Grisons, mais meilleur (sans chauvinisme ou à peine).

Temps de préparation : 3 heures sur 2 semaines
Temps de repos : 2 semaines

Ingrédients :
Filet de bœuf
- gros sel
- fenugrec
- paprika
- poivre
- ail
- cumin en poudre ou écrasé
Préparation du Çemen (tchémène) ou pâte épicée :

3 cuillères à soupe de fenugrec
3 cuillères à soupe de paprika
1/2 cuillère à soupe de sel de mer fin
1/2 cuillère à soupe de cumin
1/4 cuillère à soupe de poivre noir
1/4 cuillère à soupe de poivre rouge
3 à 6 gousses d'ail écrasées
Mélanger le tout avec de l'eau pour en faire une pâte épaisse
Préparation de la viande :

Couper la viande (ou la faire couper a la boucherie) afin d’obtenir un morceau d’environ 4-5 cm d’épaisseur sur 6-10 cm de largeur. La longueur ne doit pas faire moins que 30-40 cm, mais cela peut être plus, sans problème.
Transpercer la viande à une extrémité (au milieu) d’une ficelle solide et faire une boucle pour l’accrocher pour le séchage.
Rouler la viande dans le gros sel et la disposer dans un plat en terre ou en verre.
Poser une planchette de bois avec des poids et laisser reposer 3 jours, tout en enlevant régulièrement le sang.
Rincer la viande à l’eau froide et la tremper dans l’eau 1 heure. Egoutter, puis enrober la viande du « çemen » (tchémène) de 2-3 mm. Laisser reposer trois jours.
Si cela semble trop sec, enrober la Pastırma dans un linge / torche humide pendant un jour.

Suspendre au moyen de la ficelle dans un endroit chaud, sec et ventilé pendant 10 jours au moins.
On enlève la pâte rouge (Çemen) avant de consommer, comme une pelure de saucisson.

Ermeni Kurabiyesi
(Gourabiés /
փխրուն կարկանդակ / κουραμπιεδες)

Encore quelque chose que l’on trouve dans les pays limitrophes de la Turquie et dans les différentes communautés du pays. Chacun à son savoir-faire particulier pour ce biscuit qui autrefois se consommait plutôt pour les fêtes, mais que l’on trouve maintenant toute l’année. A Istanbul, il faut quand même bien les chercher, car ils ne sont vendus que dans les quartiers où la population arménienne est nombreuse. Les Kurabiye (prononcer en français « kourabié ») grecs ressemblent à ceux-ci. La version grecque se trouve surtout à Kadıköy, Pangaltı et Kurtuluş. La version turque est disponible partout. Agréable à savourer avec le thé.

Ingrédients pour 35 biscuits :

- 20 g de sucre
- 230 g de farine
- 120 g de beurre
- 50 g de noix concassées fin
- 2 cl de whisky (pas indispensable)
- sucre glace

 

Préparation :
Mélanger le sucre et le beurre fondu. Ajouter le whisky. Mélanger à nouveau.
Ajouter la farine a l’appareil et pétrir la pâte à la main. Verser les morceaux de noix sur la pâte et pétrir de nouveau.
Faire une boule avec la pâte puis la rouler en boudin. Couper des tronçons qui formeront les kurabiye de même taille, dans le boudin
Disposer les biscuits sur une plaque couverte d’un papier cuisson. Mettre au four 20 minutes à 180° C. Les biscuits doivent être blancs en sortant du four. Laisser refroidir, puis bien les rouler dans le sucre glace.
Les biscuits se conservent bien dans une boîte en métal.

Cacık (Tzatziki / Djadjekh / Τζατζίκι)

Le cacık est un plat turc par excellence, comme la plupart des mets à base de yoghourt. Dans toute l’Europe, cette soupe froide de concombres est connue sous son nom grec qui est lui-même dérivé du turc. L’Empire ottoman a encore frappé !

Le djadjekh ou jajik arménien ne varie pas du turc : c’est le même, mais c’est aussi un grand classique dans les familles arméniennes d’Istanbul, c’est pour cette raison qu’il figure en bonne place sur cette page. Une recette qui convient bien en été, pour une entrée.
 

 

Ingrédients (pour 6 personnes)
- 3 concombres
- 4 yoghourts nature, si possible de marque turque (le meilleur). Le grec ou le bulgare peuvent aussi faire l’affaire, mais la soupe sera un peu moins
onctueuse. Dans beaucoup de pays il est possible d’obtenir des yoghourts turcs dans des magasins turcs ou arméniens ou même dans certains supermarchés.
- 3 gousses d’ail
- quelques feuilles de menthe fraîche
- sel, poivre du moulin
Préparation :

Peler les gousses d’ails
Verser les yoghourts dans un saladier. Passer les gousses au presse-ail avant de les mélanger aux yoghourts. Saler et poivrer.
Eplucher les concombres et les couper en petits cubes. Les incorporer a la masse.
Ajouter les feuilles de menthe fraîche, ciselées.
Bien mélanger et mettre au frais
2 h. Servir frais.

Topik (թոփիկ)

Voila un plat vraiment arménien stambouliote (pas d’ailleurs). C’est le roi des mézès, et autrefois on le consommait uniquement pour les fêtes. De nos jours, on le trouve assez facilement dans les tavernes et dans les « Şarküteri », mais c’est un plat qui n’est pas très facile à réussir.

Il y a plusieurs façons de réaliser le topik, mais c’est toujours assez long. Nous donnons ici une version facile.

Ingrédients :
400 gr de pommes de terre
800 gr de pois chiches précuites en conserve
1,2 kg d’oignons
200 gr de tahine (pâte de sésame)
30 gr de pignons
30 gr de raisin de Corinthe (en Turquie : raisin des Francs / Frenk üzümü)
2 c. à café de sel
1 c. à café de cumin moulu
1/2 c. à café de poivre noir frais moulu
1 c. à café de cannelle moulue
1 c. à café de sucre

Préparation :
Peler les oignons et les débiter en rondelles partagées en deux, les cuire pendant environ 1h (ils doivent être translucides). Egoutter et réserver l’eau de cuisson. Laisser tiédir.
Enlever la pellicule transparente des pois chiches, rincer et égoutter.
Cuire les pommes de terre entières (ne pas les peler avant). Les égoutter et les laisser tiédir, puis les éplucher et découper en quartiers.
Passer au mixer les pois-chiches et les pommes de terre en y ajoutant une cuillère à soupe de tahine.
Laisser reposer au congélateur la pâte homogène pendant environ 30 à 40 minutes.
Mélanger les oignons (sans l’eau de ceux-ci) et les autres ingrédients pour obtenir mélange homogène.
Goûter et corriger l’assaisonnement : sel-poivre, voire cumin-cannelle.
Sortir la pâte du congélateur et la partager en quatre parties égales.
Etaler sur une surface plane, un tissu ou une feuille transparente plastique
Badigeonner le centre de la feuille avec l’eau des oignons et y placer une des parties de la pâte.
Tremper la main dans l’eau des oignons et asperger la pâte. Placer par-dessus, un autre tissu ou  feuille de plastique, puis étaler la pâte avec la paume de la main pour obtenir une épaisseur de 4 à 5 mm et un carré d’environ 18 à 20 cm.
Retirer le tissu du dessus, étaler le quart de la farce obtenue avec les oignons sur la pâte aplatie.
Replier, à l’aide du tissu de dessous, un des côtés de la pâte jusqu’au centre, par-dessus la farce. Recommencer avec le côté opposé. La farce n’est plus visible.
Déplier le tissu des deux côtés. Refaire la même opération avec les deux autres côtés restants. L’idée étant d’obtenir un petit paquet carré de 10 à 12 cm de côté.
Recommencer pour façonner les trois autres paquets restants. Poser les quatre paquets sur une planche plane ou un plateau.
Le topik se garde facilement une semaine au réfrigérateur et peut se congeler au besoin
Servir à température ambiante avec un filet d’huile d’olive. On peut décorer les petits paquets de pignons et saupoudrer de cannelle.
Un quart du paquet est suffisant pour une personne en entrée, en ayant préalablement décoré vos paquets de quelques pignons et une.

Caviar d’aubergines
(Patlıcan salatası /
սմբուկ
աղցան / μελιτζανοσαλάτα)

Encore un classique des mézès de ce pays. On retrouve la purée ou le caviar d’aubergines sur toutes les tables stambouliotes qu’elles soient turques, arméniennes, grecques ou séfarades.

On peut facilement l’obtenir dans n’importe quelle taverne (meyhane), mais aussi dans les charcuteries (Şarküteri), a emporter. La recette ci-dessous comprend des aubergines grillées, mais si on ne désire pas le goût de fumé, on peut aussi simplement les cuire.

Temps de préparation : 20 minutes
Temps de repos : 1 heure
Temps de cuisson : 10 minutes

 

Ingrédients (Pour 4 personnes) :
- 1 kg d'aubergines
- 1 gousse d'ail
- 4 citrons
- 1oignon
- sel et poivre
- cannelle
- huile d'olive

Préparation :

Griller les aubergines au four ou sur un grill. Lorsque la peau commence à noircir, les éplucher à l'eau froide. Egoutter et passer au mixeur. On peut aussi utiliser un pilon, comme cela se traditionnellement.

Ajouter les deux gousses d'ail et le jus de 3 citrons. Dès que les aubergines et l'ail sont bien mixés, ajouter doucement l'huile d'olive (environ 2 cuillères à soupe - la préparation doit rester épaisse et ne pas baigner dans l'huile). Saler et poivrer.
Prendre l'oignon et le couper en tranches extrêmement fines. Faire macérer pendant 1 heure dans le jus de citron.
Ajouter juste avant de servir frais, un filet d’huile d’olive et disposer les oignons confits au dessus.

 
Centre de rétention de Kumkapı et situation des réfugiés non-européens

L’ancien établissement des sœurs Oblates de l’Assomption a été transformé en 2007 en centre de rétention pour les étrangers en situation illégale. Le « Misafirhanesi » (maison des hôtes), est en fait une étape avant l’expulsion du pays des réfugiés politiques ou économiques en situation irrégulière ou dont le statut a été refusé par les autorités.

Différentes manifestations de soutien des réfugiés (2009-2013)

 

Le centre a une capacité de 600 personnes, mais un rapport en octobre 2013, mentionnait une surpopulation qui parvenait au nombre de 800. De nombreuses associations turques se sont mobilisées depuis 2008 pour l’amélioration des conditions des réfugiés. Selon elles, les immigrants vivent dans des conditions déplorables et sont maltraités (Résistanbul, Ass. des Musulmans de Turquie, Forum Social Européen, etc.).

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Les 39 quartiers de la mairie de Fatih


Description des principaux quartiers figurant sur cette carte : Eyüp (Eyoub), Fener (Phanariot Quarter), Hippodrome, Corne d'Or (Chrysokeras), Kasımpaşa (Kassim Pasha), Kurtuluş (St. Dimitri), Dolapdere (Yeni Shehr), Péra, Galata, Tophane, Fındıklı (Fundoukli), Beşiktaş (Beshicktash), Üsküdar (Skutari), Kadıköy (Kadikeui), Sarayburnu (Acropolis of the Greek Byzantium)

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